Interview de Joseph Fernandez, Directeur Technique de COLUSSI. Nouveau positionnement, nouvelle organisation, relation clients… Tour d’horizon de ses principaux chantiers 2018.
Quels sont vos objectifs pour 2018 ?
Pour accompagner au plus près nos clients, nous avons construit une nouvelle organisation avec trois objectifs : faire connaître COLUSSI au delà de ses produits, accroître notre présence et notre réactivité, à travers une sectorisation adaptée sur le territoire et promouvoir nos solutions en matière de SAV et de contrats de maintenance.
Pouvez-vous nous en dire plus sur l’organisation du Service Technique justement ?
Depuis quelques semaines maintenant, le Service Technique COLUSSI ce sont 4 secteurs qui couvrent tout le territoire, avec pour chaque secteur, un responsable qui coordonne les équipes et un bureau technique. Selon les secteurs, nous avons entre 3 et 5 techniciens ce qui nous permet une grande souplesse et une réactivité optimale.
Nous avons une hotline dédiée et garantissons des interventions en 24h maximum. L’ensemble de notre process est bien évidemment informatisé, ce qui là aussi nous permet de ne pas perdre de temps et garantir à nos clients un suivi détaillé de leurs machines de lavage et de stérilisation.
Pouvez-vous nous parler des contrats de maintenance ?
Il faut commencer par rappeler que COLUSSI ce n’est pas qu’un fournisseur de matériel. La société intervient sur toutes les phases d’un projet de stérilisation, de l’analyse des besoins jusqu’à la qualification !
En terme de contrats de maintenance, nous avons tout d’abord des contrats préventifs qui intègrent des révisions annuelles et selon les besoins, les pièces détachées. D’autre part, nous avons des contrats de maintenance tous risques qui intègrent l’ensemble des besoins : pièces détachées, main d’oeuvre et déplacements. Pour nos clients, c’est un réel avantage et une économie réelle . Nous accompagnons également les services techniques & les ingénieurs biomédicaux des établissements, sous forme de contrats de partenariat.
